Still Alive: les conseillers politiques de Trump débattront du rôle des États-Unis dans l'accord de Paris sur le climat

Paris 2015 Accord des Nations Unies sur le climat
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La promesse de campagne inébranlable de Trump de retirer les États-Unis de l'accord de Paris sur le climat des Nations Unies faiblit alors que la foule du changement climatique s'entasse. Les chances diminuent rapidement que Trump monte une résistance sérieuse.  Éditeur TN

Les conseillers politiques divisés du président Trump se réuniront mardi après-midi pour se demander si M. Trump devrait retirer les États-Unis de l'emblème Accord de Paris sur le climat de 2015, et la partie qui presse le président de rester dans la transaction entre dans la réunion pivot avec le dessus.

M. Trump envisage de prendre une décision finale sur le sort de l'accord de Paris avant une réunion du groupe des principales économies 7 à la fin du mois de mai, selon Sean Spicer, attaché de presse de la Maison Blanche.

Lors de la campagne électorale, M. Trump a juré «d'annuler» l'accord sur le climat et ses conseillers les plus conservateurs sur le plan politique, y compris son stratège principal, Stephen K. Bannon, l'ont poussé à aller de l'avant. Mais l'influence de M. Bannon a a diminué au cours des dernières semaines, tandis que l'autorité a augmenté pour la fille Ivanka de M. Trump et son beau-fils, Jared Kushner, qui plaident en faveur du maintien de l'accord.

Le secrétaire d’État, Rex W. Tillerson, ancien directeur général d’Exxon Mobil, s’est également exprimé en faveur de «rester à la table» dans le pacte sur le climat et, ces derniers jours, de grandes entreprises se sont associées pour adopter cette position.

Bien qu'aucune décision n'ait été prise, les experts ont indiqué que cette idée gagnait du terrain.

"Nous ne croyons pas actuellement que l'administration Trump envisage de se retirer de l'accord de Paris", a écrit lundi Kevin Book, analyste chez ClearView Energy Partners, une société de Washington, dans un mémo adressé aux clients.

Bien que M. Trump n’ait pas le pouvoir de défaire un accord multilatéral La Déclaration universelle des droits de l'homme accord, il pourrait se retirer la plus grande économie mondiale du pacte, l’affaiblissant considérablement. Une telle démarche gagnerait les acclamations des plus puissants défenseurs politiques conservateurs du pays et donnerait à M. Trump le droit de se vanter dans un pays houiller.

Mais se retirer de l'accord historique qui engageait presque tous les pays à prendre des mesures pour lutter contre le réchauffement de la planète pourrait créer un retour diplomatique, tout en affaiblissant le leadership américain dans des domaines éloignés de l’énergie et de l’environnement.

Par ailleurs, garder le nom des États-Unis dans l'accord n'oblige pas l'administration Trump à respecter les ambitieux engagements de son prédécesseur en matière de contrôle des émissions, Barack Obama. Au moins un conseiller principal en politique climatique de la Maison Blanche, George David Banks, a plaidé en faveur du maintien de l'accord tout en remplaçant le plan Obama par un engagement plus faible et plus favorable à l'industrie.

Au cours des dernières semaines, M. Banks a demandé à de hauts responsables de plusieurs grandes entreprises, dont Exxon Mobil, partageant leurs points de vue, d'envoyer des lettres à la Maison Blanche confirmant leur soutien à la décision de rester dans l'accord de Paris, même sous une forme modifiée.

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