«L'argent vert foncé» révèle un réseau d'autodiscipline dans le «leadership» canadien en matière de changement climatique

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Les technocrates séduisent les milliardaires dans le financement de leurs rêves technologiques, qui deviennent en réalité un tourbillon de comportements politiques maniaques. Le Canada est un exemple marquant de ce phénomène. ⁃ Éditeur TN

"Argent vert foncé»Est un nouveau rapport rédigé par le consultant en politique énergétique d’Ottawa, Robert Lyman, qui dévoile le masque de la grosse machine de financement verte à la base du« leadership »canadien en matière de changement climatique, publié par Friends of Science le 12 janvier 15, 2019. Selon les amis de la science, ce qui est en jeu au Canada ressemble à la proposition New Green américain, comme décrit par Vox, Jan. 7, 2019. Contrairement à ce qu'Al Gore prétend dans ses déclarations, les dissidents du climat qui financent l'argent de l'industrie, ont annoncé décembre 21, 2018 in National Geographic, «Dark Green Money» montre que les fondations d'un milliardaire ayant des intérêts acquis dans les énergies renouvelables et le commerce du carbone, ainsi que les politiques gouvernementales, sont les moyens financiers les plus importants pour faire avancer le discours climatique.

Le Sénat américain minoritaire rapporte le “Club des milliardaires” En juillet 20, 2014 a annoncé un financement similaire.

L'affirmation d'une crise climatique est démystifiée par le professeur émérite François Gervais de l'Université de Tours, dans une nouvelle vidéo de présentation: «Refroidissement de la sensibilité climatique - Le réchauffement climatique anthropique du CO2 remis en cause par un cycle de 60 ans» vient de publier sur YouTube par Friends of Science . Le professeur Gervais montre qu'il existe un «consensus» scientifique sur la sensibilité climatique nominale du dioxyde de carbone provenant des émissions humaines, ce qui signifie que son impact à long terme sur le climat de la Terre est négligeable.

«Dark Green Money» («argent vert foncé») donne un aperçu du vaste réseau de transactions réalisées par des fondations de milliardaires étrangers au Canada, qui détaille les sommes considérables investies dans des initiatives discutables relatives aux «changements climatiques».

L'auteur Robert Lyman est un ancien fonctionnaire des années 27 et ancien diplomate des années 10 du gouvernement canadien. Il est consterné par les fonds publics gaspillés sans analyse coûts-avantages et rarement soumis à l'examen du public.

Lyman se réfère d’abord au document 2018 de Matthew Nisbet sur «Philanthropie stratégique…». Selon Nisbet, des fondations philanthropes américaines ont défini le «changement climatique» comme un problème social, le définissant comme un problème de pollution, poussé à imposer un «prix du carbone» et orienté les marchés vers les technologies des énergies renouvelables.

Lyman écrit: «Bien que le financement fourni par les fondations privées soit important, les gouvernements sont de loin la plus grande source de financement pour promouvoir« l'atténuation »du changement climatique au Canada…» Les Canadiens ne devraient pas avoir à deviner combien d'argent les gouvernements dépensent pour financer le «Triangle de fer» du biais de confirmation du changement climatique.

Le triangle de fer fait référence à un papier dans le Journal des médecins et chirurgiens of Fall 2013 de Richard Lindzen, expliquant comment des déclarations scientifiques ambiguës font l’objet d’une folie par les défenseurs de leurs intérêts et les médias, qui génèrent ensuite une pression publique sur les gouvernements pour qu'ils agissent, qui à leur tour alimentent la frénésie avec du financement.

Deloitte's Le point sur la criminalité en col blanc de février 2018, explique le diamant de fraude à quatre points. Déclarer une «crise» liée au changement climatique fournit la rationalisation de toute action; les grands bailleurs de fonds offrent l'opportunité, les gouvernements fournissent les incitations et la capacité.

Ironiquement, dépenser ces milliards verts pour tenter d'arrêter le réchauffement climatique est économiquement préjudiciable pour le Canada, selon le Dr Richard Tol. Le réchauffement nominal profite aux pays froids grâce à de meilleures saisons de croissance, à moins de coûts pour les activités industrielles extérieures et le chauffage. Dans son livre «Climate Economics» [page 89], il déclare: «Le pays le mieux loti est le Canada…» Le bénéfice net positif estimé des émissions de CO2 pour le Canada augmentera régulièrement pour atteindre 100 milliards de dollars d'ici 2100.

Tol est l'auteur principal du GIEC qui a refusé de signer le rapport de son équipe, affirmant qu'il était trop alarmiste, négligeant la capacité humaine à s'adapter.

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