NSA récolte des millions de visages à partir d'images Internet

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Note de TN: La NSA a été giflée dans tous les sens par le Congrès pour abandonner les opérations d'espionnage aveugles sur les Américains, mais les technocrates tels qu'ils sont, ignorent le Congrès et poursuivent leur mission. N'oubliez pas que la NSA est entièrement contrôlée (par exemple, à la fois le financement et les opérations) par le directeur du renseignement national, qui est actuellement James R. Clapper. Depuis que George W. Bush a créé l'agence en 2005 et lui a remis toutes les agences de renseignement du pays, deux DNI ont été membres de la Commission trilatérale: John Negroponte (3 / 2005-2 / 2007) et Amiral Dennis C. Blair (1 / 2009-5 / 2010). On peut en conclure que l'ensemble de la communauté du renseignement, y compris la NSA, agit au nom de ceux qui tentent de mettre en œuvre la technocratie dans notre pays.

Selon des documents très secrets, la National Security Agency recueille un grand nombre d'images de personnes issues de communications qu'elle intercepte via ses opérations de surveillance mondiales pour les utiliser dans des programmes sophistiqués de reconnaissance faciale.

La confiance des agences d’espionnage dans la technologie de reconnaissance faciale s’est considérablement accrue au cours des quatre dernières années, car elle s’est tournée vers de nouveaux logiciels pour exploiter le flot d’images inclus dans les courriels, les SMS, les médias sociaux, les vidéoconférences et autres communications, révèlent les documents de la NSA. Les responsables de l'agence estiment que les progrès technologiques pourraient révolutionner la manière dont la NSA trouve des cibles de renseignement dans le monde entier, selon les documents. Les ambitions de l'agence pour cette capacité très sensible et l'ampleur de ses efforts n'ont pas été révélées auparavant.

L'agence intercepte «des millions d'images par jour» - y compris à propos des «images de qualité de reconnaissance faciale» de 55,000, ce qui se traduit par «un potentiel inexploité énorme», selon des documents 2011 obtenus de l'ancien sous-traitant de l'agence, Edward J. Snowden. Autrefois centrée sur les communications écrites et orales, la NSA considère désormais que les images faciales, les empreintes digitales et d’autres identifiants sont tout aussi importants pour sa mission de traquer les terroristes présumés et d’autres cibles du renseignement, selon les documents.

"Ce ne sont pas uniquement les communications traditionnelles que nous recherchons: nous utilisons une approche d'arsenal complet qui exploite numériquement les indices laissés par une cible dans leurs activités régulières sur le net pour compiler des informations biographiques et biométriques" qui peuvent aider à "mettre en œuvre un ciblage de précision, ”A noté un document 2010.

Une présentation PowerPoint de la NSA de 2011, par exemple, affiche plusieurs photographies d'un homme non identifié - parfois barbu, parfois rasé de près - dans différents contextes, ainsi que plus de deux douzaines de données sur lui. Il s’agit notamment de savoir s’il figurait sur la liste des personnes interdites de vol de la Transportation Security Administration, de son passeport et de son statut de visa, d’associations connues ou de liens présumés avec des terroristes, ainsi que des commentaires formulés à son sujet par des informateurs des services de renseignement américains.

On ne sait pas combien de personnes dans le monde et combien d'Américains auraient pu être pris dans l'effort. Ni les lois fédérales sur la vie privée ni les lois de surveillance du pays ne prévoient de protection spécifique pour les images faciales. Compte tenu de la mission de renseignement de la NSA à l'étranger, une grande partie de l'imagerie concernerait des personnes à l'étranger dont les données ont été collectées via des prises par câble, des concentrateurs Internet et des transmissions par satellite.

Parce que l’agence considère les images comme une forme de contenu de communication, la NSA devrait obtenir l’approbation du tribunal pour les images d’Américains recueillies dans le cadre de ses programmes de surveillance, tout comme elle doit lire leurs courriels ou écouter leurs conversations téléphoniques, selon une porte-parole de la NSA. . Les communications transfrontalières dans lesquelles un Américain pourrait envoyer par courrier électronique ou par SMS une image à une personne ciblée par l'agence à l'étranger pourraient être exceptées.

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