Le secrétaire général Antonio Guterres a averti lundi que le déficit des Nations Unies était déficitaire de un million de dollars 230. Le déficit pourrait être épuisé d'ici la fin du mois d'octobre si les gouvernements mondiaux ne s'acquittent pas de leurs obligations financières.
Les contribuables américains seraient probablement les plus durement touchés par une injection immédiate de fonds dans l'organisation mondiale.
Les États-Unis sont de loin le plus gros contributeur financier des Nations Unies, fournissant 22 pour cent de son budget de fonctionnement et finançant 28 pour cent des missions de maintien de la paix, qui coûtent actuellement un milliard de dollars par an.
Les deux principaux contributeurs suivants sont l'Allemagne et le Royaume-Uni.
Dans une lettre destinée aux employés de 37,000 au secrétariat de l'ONU et obtenue par l'AFP, M. Guterres a indiqué, sans précision, que des "mesures de transition supplémentaires" devraient être prises pour garantir le respect des conditions salariales et des salaires.
Celles-ci pourraient inclure moins de réunions et une réduction des voyages et des droits associés.
«Les États Membres n’ont payé que 70 pour cent du montant total nécessaire pour nos opérations relevant du budget ordinaire en 2019. Cela se traduit par un manque de trésorerie de 230 millions de dollars à la fin du mois de septembre. Nous risquons d'épuiser nos réserves de liquidités de secours d'ici la fin du mois », a-t-il écrit.
Donald Trump a longtemps réclamé une réforme de l'ONU et avait averti la semaine dernière que «l'avenir n'appartient pas aux mondialistes». avertissement aux responsables de l'organisation:
En décembre 2017, Nikki Haley, alors ambassadrice des États-Unis auprès de l'organisation, a annoncé que le gouvernement fédéral avait réduit sa contribution au budget annuel de l'ONU de 285 millions de dollars, comme Breitbart News rapporté.
Je ne suis pas un fan de Trump, mais s'il continue de contrecarrer l'ONU et de corréler leur agenda mondialiste, il fera enfin une bonne chose pour le monde avec sa présidence. Nous verrons jusqu'où il est prêt à aller. Quoi qu'il fasse, il vaut mieux être rapide car il est déjà loin derrière.