Par coïncidence, ce point précis est discuté dans le CFFS Stand and Deliver podcast à paraître à midi le vendredi 17 février. ⁃ Éditeur TN
IDans l'esprit de Justin Trudeau, il est toujours la victime.
Trudeau, le garçon, blackface premier ministre du Canada, se considère comme une sous-classe opprimée. Ses oppresseurs sont des camionneurs canadiens – des travailleurs préoccupés par ses mandats de vaccination et son verrouillage de longue date de la frontière. Il croit qu'en organisant une manifestation dans sa capitale, Ottawa, les camionneurs commettent une trahison - ou quelque chose de très proche.
Pour avoir garé leurs camions devant le Parlement, fait du bruit et participé à la désobéissance civile, ces camionneurs ont été accusés par Trudeau et ses camarades du Parti libéral d'« insurrection ». Il les a accusés d'avoir tenté d'annuler une élection. Il a menacé de violentes répressions et les a traités comme si leur protestation n'était pas une activité protégée. Il a envoyé la police voler leur carburant dans l'espoir que l'hiver canadien fera le reste et les forcera à partir.
Le gouvernement Trudeau invoque des pouvoirs d'urgence qui, dans le passé, n'ont été utilisés qu'en temps de guerre et contre des terroristes. Les Canadiens qui expriment leur soutien aux camionneurs sur Facebook reçoivent même des visites de la police provinciale à leur domicile – la République populaire du Canuckistan est apparemment plus qu'un simple nom de blague.
Certains journalistes et commentateurs américains de gauche ont été encore pires, ouvertement incitant à la violence et à la destruction de biens en guise de représailles pour l'acte de désobéissance civile des camionneurs contre le régime de Trudeau. Rien ne rend les gauchistes plus en colère que lorsque leurs propres tactiques sont utilisées contre eux.
En termes américains, l'hypocrisie de la gauche face à cette manifestation de camionneurs peut être illustrée par des comparaisons avec les manifestations Occupy Wall Street d'il y a plus d'une décennie. Aimez-les ou détestez-les, la plupart des gens honnêtes ne voulaient pas voir la police défiler dans les parcs et battre les occupants avec des gourdins. Les médias ont même insisté de manière nauséabonde pour les prendre au sérieux, même si c'était trop pour la plupart des gens normaux de se faire sermonner sur les inégalités et les difficultés économiques par un groupe d'étudiants blancs privilégiés qui n'avaient jamais connu ni l'un ni l'autre.
D'un point de vue canadien, cependant, il existe une comparaison beaucoup plus pertinente qu'Occupy pour ce que Trudeau fait maintenant. La plupart des Américains ne s'en souviennent peut-être pas ou ne le savent pas, mais éditeurs, de toutes les personnes, pour l'avoir soulevé. Plus précisément, en novembre 2020, Trudeau s'est prononcé en faveur d'une manifestation d'agriculteurs en Inde qui avait encrassé les autoroutes de New Delhi pendant un an. Lorsque les autorités indiennes ont réprimé, Trudeau était heureux de monter sur ses grands chevaux, proposant aux Indiens et au Premier ministre Narendra Modi de subir les conséquences de la désobéissance civile bloquant la route avec la sérénité qu'exige une société libre.
"Le Canada sera toujours là pour défendre le droit de manifester pacifiquement», a même dit Trudeau. Wow, cette citation est vraiment un hurlement maintenant, n'est-ce pas ? La manifestation pacifique est formidable - n'essayez pas à l'intérieur du Canada, et vous resterez du bon côté du camarade Trudeau.
Il n'est pas nécessaire d'être d'accord avec la cause des camionneurs pour comprendre le danger que le comportement dictatorial de Trudeau représente pour les droits de liberté d'expression et de réunion. De toute évidence, comme leurs voisins du sud, les Canadiens ont commis une erreur lors de leur dernière élection.
Et malheureusement, ils n'ont pas le premier amendement pour les protéger des tyrans avides de pouvoir comme Trudeau. Ils pourraient vraiment en utiliser un.
[…] Lire l'article original […]
Et seul notre 2e amendement protège le 1er amendement et une position contre un gouvernement devenu criminellement voyou. Alors que le 2e nous permet de nous protéger du citoyen criminel, sa fonction la plus importante est de nous protéger d'un gouvernement au comportement criminel. C'est ce qu'on appelle la liberté les gars.
Seul un crétin croit que le premier amendement, ou toute autre partie de la Constitution, est toujours en vigueur.
Vous parlez toujours, n'est-ce pas ? Tu te décris alors
Encore une fois, je dois expliquer que Trudeau porte du blackface pour se moquer des Canadiens blancs. Il déteste les peuples fondateurs du Canada qui sont tous de race blanche. Il aime les non-Blancs, c'est pourquoi il les immigre massivement pour remplacer les Nord-Américains britanniques qui ont été les pionniers et ont fondé le Canada. Les escapades blackface et brownface de Trudeau visent à ridiculiser les blancs en montrant qu'il s'identifie aux non-blancs qui remplacent les blancs, comme son père l'avait prévu en 1962 en écrivant dans sa revue marxiste, CITE LIBRE, et Trudeau préfère les remplaçants.
[...] https://www.technocracy.news/only-the-first-amendment-stands-between-the-us-and-tinpot-tyrants-like-… [...]
J'aimerais savoir ce que pensent les plus de 725 prisonniers politiques de la manifestation du 6 janvier 2021. Pour moi, il semble que nous ayons la même chose qu'au Canada, mais mis en œuvre différemment. Des gens arrêtés parce que les « dirigeants » n'aiment pas leur politique. Vérifier. Leurs finances sont ruinées. Vérifier. Les «dirigeants» et leur service de relations publiques - alias MSM - les ont vilipendés et ont raconté des mensonges à leur sujet. Vérifier. Regardons et voyons au cours des prochaines semaines combien d'autres pays emboîtent le pas et mettent leurs genoux sur le cou de ceux dont ils n'aiment pas la politique.
[…] Seul le 1er se dresse entre les États-Unis et les tyrans de Tinpot comme Trudeau […]